Des cahiers papier

A l’heure où le mot digital est prononcé a minima 37 fois par jour dans de nombreux environnements professionnels, où les réunions ont lieu sur Teams ou Webex, où il existe des outils de retranscription automatique pour ne rien rater de ce qui s’est dit dans un colloque sans avoir besoin des compétences des sténos-dactylos, le cahier papier, bien que moins présent, résiste encore et toujours à l’envahisseur numérique.

Certes, il existe un effet générationnel par rapport à la prise de notes manuscrite, mais il n’est pas rare de voir des stagiaires ou des jeunes diplômés arriver pour faire un point avec leur tuteur / manager avec le bloc papier / le cahier fourni par la société et un traditionnel Bic. Et se rendre aux réunions également avec une feuille ou un cahier / carnet pour y inscrire les points importants et ce qui leur sera demandé.

De l’inflation et des prestations intellectuelles

Il n’aura échappé à personne que le taux d’inflation a significativement fait monter les prix du panier ou du caddie de courses et des factures énergétiques depuis quelques mois, et que cette hausse des coûts va se poursuivre encore un temps certain. Face à cela, de nombreux entrepreneurs et secteurs d’entreprise se font entendre, attendant souvent que les dépenses publiques compensent leurs difficultés (oubliant au passage pour certains leur opposition farouche et systématique à toute forme de cotisation sociale et de cohérence par là-même avec la défense du principe de donnant-donnant).

Du parcours d’obstacles des buveurs de thé au travail

Il ne vous aura pas échappé que dans le monde du travail comme ailleurs, le café est roi. Et que, le matin lorsque vos collègues font une pause, au démarrage des réunions ou lorsque l’on accueille un client, un prestataire ou un candidat dans les locaux de l’entreprise, on propose systématiquement un café ou un verre d’eau à la ou aux personne(s) présente. Mais qu’il ne vient pas spontanément à l’esprit des gens de demander si quelqu’un souhaite du thé.

Des objectifs Smart pour 2023

Si vous lisez régulièrement des articles ou ouvrages sur le management, vous avez sans doute entendu parler de la fixation des objectifs individuels et collectifs selon la méthode SMART. L’idée en est de mobiliser les salariés à la fois en étant explicites sur les attentes et en évitant de les essorer sous une cadence qui, même s’ils arrivent à la tenir, ne leur permettra pas d’atteindre les chiffres visés et la prime afférente.